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By Anne CHAON Edirne (Turquie) (AFP) – Le torse lustré, sanglés dans une culotte de peau, les “pehlivans” (lutteurs) entrent dans l’arène sous un soleil de plomb et les vivats des gradins en se frappant les cuisses à l’énoncé de leur nom. Tous les débuts juillet, le “Kirkpinar” (tournoi) d’Edirne, dans le nord-ouest de la Turquie, perpétue la lutte ancestrale des pehlivans dans le pur respect des traditions ottomanes qui imposent un corps puissant, massif et agile à la fois. Et frotté à l’huile d’olive malgré son prix prohibitif. Capitale de l’empire ottoman jusqu’à la conquête de Constantinop…

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