Paris (AFP) – La “diabolisation” de Marine Le Pen était “un frein immense” pour ses électeurs potentiels, mais “l’amélioration de son image” coïncide “de manière tout à fait spectaculaire à un vote massif pour elle”, met en évidence une étude parue jeudi. Dans cette note de la Fondation Jean-Jaurès – un centre de réflexion classé au centre gauche – basée sur les données récoltées par l’institut Ipsos, le chercheur Antoine Bristielle s’est focalisé sur la part de Français qui ont changé d’avis au cours de la campagne présidentielle. Les personnes interrogées estimant que Marine Le Pen avait “l’…