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By Mohammad MAZED et Zunayet ANIS Patuakhali (Bangladesh) (AFP) – Abdul Aziz avait dû abandonner sa maison de la côte bangladaise, le voici désormais qui pêche dans les eaux qui la recouvrent, la faute au niveau de la mer qui s’élève à un rythme parmi les plus effrénés au monde, révèle une étude. Dans les zones côtières densément peuplées du pays d’Asie du Sud, “plus d’un million de personnes pourraient devoir être déplacées” d’ici 2050, au rythme actuel, selon ces travaux publiés le mois dernier. Après un cyclone dévastateur en 2007, M. Aziz, un pêcheur, est parti s’installer à un demi-kilomè…

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