By Shaun TANDON Washington (AFP) – Kamala Harris a affiché à Chicago une posture particulièrement ferme sur les questions de politique étrangère tout en s’essayant à un rééquilibrage sur Gaza, une stratégie qui vise avant tout à battre Donald Trump dans la course à la Maison Blanche. Dans son discours jeudi à la convention démocrate, la vice-présidente américaine a juré qu’elle ne ferait “pas ami-ami avec les dictateurs”, à l’inverse d’un milliardaire et ancien président qui “veut lui-même être un autocrate”. Elle tente ainsi d’apparaître comme plus musclée, plus capable sur la scène internati…