By Philippe GRELARD Paris (AFP) – Vous l’avez peut-être vu, avec carnet et crayons en fosse de salles ou de festivals comme au Hellfest: Nicolas Barberon est croqueur de concerts, comme on parle de croquis d’audience au tribunal, sauf que c’est plus rock’n’roll. Le live ça se vit. Le quinquagénaire n’est pas du genre à s’asseoir loin de la scène. Il est dans les premiers rangs et tant pis, ou tant mieux à l’entendre, si ça remue. “Quand je suis assis, je ne capte pas l’énergie. Debout dans le public, de près, on est toujours en tension. Ce qui est intéressant, c’est aussi les accidents, les ge…