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By Jacques KLOPP Rome (AFP) – Veni, vidi, vici: après trois semaines à survoler le Tour d’Italie, Tadej Pogacar est entré dans la ville éternelle tel un empereur romain dimanche pour fêter son succès et se tourner déjà vers son prochain objectif: le Tour de France. Six victoires d’étape, autant que le grand Eddy Merckx en 1973, une avance abyssale sur son dauphin Daniel Martinez au général, 9 min 56 sec, plus grand écart depuis 1965, et une impression de facilité déconcertante, au risque d’un certain ennui: le Slovène a dominé le Giro de bout en bout, prenant le maillot rose dès le deuxième jo…

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